Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


CopyrightFrance.com
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

 

 Tulliaris Septimus

Aller en bas 
AuteurMessage
Tulliaris
Administrateur et Responsable technique
Tulliaris


Nombre de messages : 35
Age : 41
Ethnie : Natony
Profession : Naturaliste
Date d'inscription : 16/08/2008

Feuille de personnage
Blessure: Indemne
Valeurs de combat:

Tulliaris Septimus Empty
MessageSujet: Tulliaris Septimus   Tulliaris Septimus Icon_minitimeSam 13 Sep - 12:22

Nom: Septimus

Prénom: Tulliaris

Age: 26 ans

Ethnie: Natony (Gired-Elfe)

Description physique :

Tulliaris est un Natony, un Gired ayant des caractéristiques elfiques, tel son visage fin et avenant, ses grands yeux verts émeraude et ses oreilles pointues. Il est un peu plus petit que la moyenne et est d’une constitution tout aussi faible. Il porte en général des vêtements fonctionnel de couleur verts, dans différents ton, en accord avec le milieu naturel qu’il semble apprécié. Il porte constamment à son côté une rapière à la garde magnifique représentant ce que serait le ciel avec le soleil, du moins pour celui qui l’a ciselé.


Description mentale :

Tulliaris est d’un naturel curieux et est très intéresser par tout ce qui touche les sciences, particulièrement ce qui touche a la biologie. Ses études l’ont conduit à devenir suffisamment érudit dans ces domaines pour être un médecin acceptable et il n’hésitera jamais à user de ces talents pour venir en aide à quiconque en aurait besoin. D’un naturel pourtant chaleureux, il se referme toujours sur lui-même lorsqu’il réfléchit, notamment sur un de ses sujets d’étude. Il espère pouvoir utiliser divers élément naturel pour améliorer le confort de Fortifia notamment dans la lutte contre les vampires. Ainsi donc on peut dire qu’il est peu rancunier à l’égard des autres habitants dont une bonne partie méprise les Natony et dont il déjà fait les frais.


Histoire :

Le viel homme était penché sur un livre à l’aspect aussi ancien que lui. Dans le peu de lumière offerte par sa bougie, on ne pouvait guère distingué que son visage inspirant la tranquillité, encadré par une courte barbe bien entretenue et avec un front dégagé. L’endroit était sombre et calme, on devine à intervalle régulier de grandes étagères, contenant chacune quantité d’ouvrage ou de rouleaux de parchemin.
Pourtant, sans raison apparente, le vieux gired releva la tête presque imperceptiblement, quelque chose ou quelqu’un semblant avoir attire son attention, droit devant lui, dans le passage entre les deux rangés d’étagère.

- Je ne pensais pas vous voir aujourd’hui jeune maître.

Sa voix était grave et chaleureuse, chaque mot parfaitement articulé trahissait un grand orateur.
Il n’eut pas de réponse immédiate si ce n’était un mouvement désormais bien perceptible de la silhouette d’un homme d’une corpulence peu impressionnante. Le nouvel arrivant prit place devant le Gired en s’asseyant sur une chaise qui ne semblait là que pour lui.
Seul son visage était visible, ses yeux d’un vert émeraude prononcé reflétait la lumière dansante de la bougie, ses courts cheveux châtains dissimulaient mal ses oreilles pointues. Son visage fin et avenant affichait un mécontentement feint.

- Cela semble toujours t’amuser autant, mon brave Léopold, mais tu sais combien je déteste cette appellation, surtout venant de toi.

- L’amitié n’empêche pas le respect. En tant que fils du Légat, même adoptif, vous êtes mon maître.

Léopold se leva, souriant devant le geste d’agacement de Tulliaris. C’était un jeu auquel ils jouaient tout deux depuis bien longtemps. Le vieux bibliothécaire se dirigea vers le mur de droite et tira à deux reprises une corde tressés qui passait à travers ce mur. Quelques courts instant plus tard, un serviteur entra afin d’allumer avec d’infinie précaution les lanternes de la salle, révélant peu à peu son importance ainsi que la quantité d’écrit conservé ici, qui n’était pourtant qu’une sorte de réserve de la bibliothèque de Fortifia.

- Comment s’est passé ta petite excursion ? Reprit le Gired tandis qu’il reprenait place.

- Fort bien j’imagine… L’expression du Natony montrait clairement de la déception.

Comme Léopold semblait attendre plus de détail, Tulliaris se résolut à en donner. Il se laissa glisser quelque peu sur son siège démontrant ainsi tout l’intérêt qu’il portait à son récit.

- En fait je n’ai même pas pu fouiller le quartier Forestier comme je le voulais, j’ai trouvé un homme, un Kraor, qui s’était blessé assez méchamment. Je me suis occupé de lui de mon mieux mais lorsque les siens sont venus le chercher, ils ne se sont pas gêner pour chasser « la créature » que je suis. Mais je suis habitué à tout cela.

Léopold ne fit qu’acquiescer, un geste d’approbation pour ce que le jeune Natony avait fait. Il était content de ce que Tulliaris était, malgré ce qu’il avait vécu, il ne se montrait pas rancunier avec tout le reste de la population. Et pourtant sa vie ne fut pas amusante.

Tout juste nouveau né, Tulliaris avait été abandonné devant une pension recueillant les orphelins, heureusement pour lui, même en étant Natony il trouva refuge en ce lieu et put ainsi vivre, si on puis appeler ca vivre. Seul Natony de cette petite pension, il fut la cible quasi constante des mauvaise blagues des autres enfants et du méprit quasi-général du personnel. Mais il tint bon, se détachant rapidement de l’avis des autres et ne cessant de rechercher un moyen de fuir l’endroit pour de bon.

Ce n’était qu’un rêve de gamin, mais après quelques années, qui furent bien longues pour lui, il trouva l’occasion de s’échapper. Dés lors libre de faire tout ce qu’il voulait, le jeune Tulliaris était bien heureux. Pourtant il n’avait jamais pensé à ce qu’il ferait une fois dehors et il dut se résoudre à une existence de misère dans les rues. C’est dans un triste état que Léopold le recueillit alors qu’il accompagnait le Légat et son épouse dans les rues jouxtant la Bibliothèque.

Il fut entouré de bons soins puisque le bibliothécaire ne nourrissait aucun préjugé face aux différentes ethnies et se remit bien vite. Le légat et son épouse étaient comme Léopold et rendirent de nombreuses visites au jeune Natony et de fil en aiguille, ils avaient décidé de l’adopter, à la plus grande stupéfaction de Tulliaris.
Léopold souri au souvenir de ce jour, ses meilleurs amis avaient un nouveau fils et lui un nouvel élève puisqu’il devint son percepteur.

Si les débuts de l’enseignement furent difficiles, son élève révéla vite une grande soif de savoir, qu’il était parfois difficile à refreiner. Il se montrait particulièrement intéresser par la biologie et l’herboristerie, et par extension la médecine.

Aujourd’hui il n’était plus l’élève, mais un ami.





A chaque fois que Tulliaris rendait visite à Léopold, il se souvenait de toute sa bienveillance pendant qu’il lui dispensait ses enseignements. Il lui devait beaucoup, à commencer par ce qu’il était devenu aujourd’hui. Ses songes furent interrompus par l’arrivée d’une autre personne, à pareil heure il ne pouvait s’agir que d’une seule de ses connaissances.

- Hé bien messire Tulliaris, que voici une posture bien précaire sur une simple chaise.

Cette voix mélodieuse et chaleureuse, avec un brin de moquerie, était celle de Myriam, la fille d’un riche marchand, le plus riche du quartier Aristocratique disait-on. Le jeune homme se redressa puis se leva pour accueillir la nouvelle venue, s’inclinant très légèrement, dans un salut dérisoire pour répondre à la remarque de la jeune fille dont le visage, en voyant cela, s’illumina d’un sourire très amusé.

La jeune fille était également une des plus belles du quartier aux dires de bien des jeunes hommes. De longs cheveux noir laissés libres encadraient son visage d’ange et des yeux pareils à deux perles noires envoutaient ceux qui croisaient son regard. Sa peau était un peu plus mate chez elle, ajoutant à sa beauté. S’il ne la considérait pas comme une sœur, Tulliaris n’aurait pas hésité une seconde à lui faire la cour.

- Ne te vexe pas, mais c’est si amusant…

- Oui, je commence à avoir l’habitude d’être maltraité, surtout par tes bons soins Myriam.

Tulliaris ne pouvait retenir son sourire, tout comme Léopold qui avait été le précepteur de Myriam, c’était d’ailleurs ainsi que les deux jeunes gens s’étaient rencontrés et était devenu des amis très proche, tel un frère et une sœur.

- A vrai dire, tel n’était pas mon but en venant ici. Je voulais te dire que ton frère venait de rentrer, je l’ai croisé alors qu’il s’en retournait à votre villa. J’ai pensé que tu aurais voulu le savoir assez vite.

Le frère de Tulliaris, Théus, avait choisit de devenir un garde du corps si on peut dire, puisqu’il escorte les personnes partant à la recherche de ressources à l’extérieur de Fortifia. Une profession dangereuse mais nul ne parvenait à le dissuader de continuer, alors, à chaque fois qu’il rentrait sain et sauf, cela donnait lieu à une petite fête en famille.

Les deux frères avaient eu beaucoup de mal a cohabiter au début, mais l’âge aidant, leurs différents furent oubliés et l’entende devint bien meilleure, d’autant plus que Théus passait finalement très peu de temps au sein de sa famille.

S’excusant auprès de ses amis, il partit d’un pas rapide rejoindre son foyer, accueillir son frère et entendre ses récits. Sa main tint fermement le fourreau de sa rapière, la seule chose qu’il lui reste de sa petite enfance. En effet, étrangement, il avait été abandonné avec cette arme prés de lui. L’orphelinat l’avait gardé en attendant qu’il ait l’âge de la portée sans danger. Evidement sa fuite avait signifié la perte de l’arme mais son père adoptif, une fois qu’il eut entendu l’histoire du Natony, n’avait pas mis longtemps avant de la récupérer.

Tulliaris n’avait eu que quelques rues à traverser pour arriver chez lui où il retrouva la famille qu’il avait rêvé d’avoir depuis si longtemps.



De nos jours :

Tulliaris passe presque autant de temps à étudier dans une petite pièce chez lui les spécimens qu’il récolte l’autre moitié du temps dans le quartier forestier. Il est convaincu qu’il est possible de combattre les ennemis de Fortifia en utilisant les moyens mis à disposition par la Mère Nature. Mais ce que recèle Fortifia dans le genre ne sert pas les desseins du Natony et plus grave encore, il n’est pas loin d’en avoir fait le tour, le faisant songé de plus en plus ardemment à sortir de la ville pour y faire des recherchent.

Etant le fils du légat, il jouit d’une certaine tranquillité vis-à-vis des préjuger contre les Natony sans pourtant en être entièrement débarrasser.
Revenir en haut Aller en bas
https://vengeance-nocturne.superforum.fr
 
Tulliaris Septimus
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Accueil :: Feuilles de personnages & chroniques-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser